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La Corneille Distinguée
Atelier de fabrication d’habits à caractère historiqueAtelier de fabrication de costumes d’époque
06 99 09 32 61
lacorneilledistinguee@orange.fr
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Qui sommes-nous ?
Il était une fois… la Touraine et le Poitou
Les rives de La Loire et de ses affluents, dernier fleuve sauvage d’Europe où s’égrènent les forteresses médiévales et les demeures renaissance, à l’ombre bienveillante des grandes abbayes bénédictines.
Il était une fois… une famille
Et des enfants qui grandissent à proximité de la cité idéale de Richelieu conçue par le grand cardinal ; proche aussi du château d’Azay-le-Rideau, joyau de la Renaissance sur son écrin d’eau, tout près également de la forteresse royale de Chinon où s’initia la reconquête du royaume.
Fêtes scolaires, déguisements de carnaval, participation aux festivals de Cape et d’Épée, au marché Rabelaisien, danses renaissance, escrime artistique… et une passion commune pour l’histoire qui oriente l’un d’eux vers une activité professionnelle d’auto-entrepreneur de création d’habits à caractère historique et de création de costumes d’époque.
Enfin, et parce que les belles histoires mettent souvent en scène les bestiaux et bestioles de la création,
Il y eut un corbeau…
Non point un aigle royal mais une de ces corneilles communes et nuisibles, pilleuses de champs ensemencés…
Tombée malencontreusement du nid, déjà attaquée par la vermine, cette corneille là, n’aurait pas dû survivre. Opérée et soignée dans une pièce de la demeure, la Corneille s’accrocha à la vie, contre toute attente…
Adolescent prétentieux mais élevé en cage, le corbeau ne semblait guère pouvoir assumer une vie sociale de corneille, d’autant qu’il n’avait jamais appris à voler…
Survint alors un renard, un de ces jeunes Goupil qui à l’aurore, décida de faire de ce petit poulet noir, un mets susceptible d’améliorer son quotidien.
À sa grande surprise, le corbeau, peu farouche, le chargea et se battit « bec et serres », férocement. La fable s’inversa : le renard blessé dut lâcher prise et abandonna le corbeau meurtri mais vivant. La leçon fut efficace : la corneille décida d’apprendre à voler et s’investit dans un apprentissage intensif de quelques semaines, ponctué de moult émotions et entraînements notamment lorsqu’il lui fallut apprendre à descendre de la cime des grands chênes… Depuis, la corneille autonome gère son territoire et revient quotidiennement surveiller les travaux de son ancien logis, converti en atelier de fabrication d’habits historiques et de costumes d’époque.